Vente par Michel Tardif, peintre, et Geneviève Butay, sa femme, demeurant rue Saint-Jacques, paroisse Saint-Séverin, à Jean Dutour, peintre ordinaire des ordres du roi, et à Anne-Madeleine Cabaret, sa femme, demeurant sur le pont Notre-Dame, de 'tout le fond des apprêts des armoiries pour les pompes funèbres des princes, seigneurs, et autres personnes de qualité, consistant en papier et cartes d'armoiries peintes, ajustées et disposées pour lesdites armoiries, de toutes sortes de grandeurs et attributs, avec tous les ustensiles servant audit fond, à la façon et préparation et tout ce qui en dépend, sans en rien excepter ni réserver', moyennant 1.600 livres. Les époux Tardif déclarent renoncer, ensemble et séparément, à travailler et à faire travailler, directement ou indirectement 'à aucun fond desdites armoiries, apprêt d'icelles, façon ni préparation, vente ni débit desdites armoiries en quelque manière que ce puisse être', et à acheter un nouveau fond, sous peine de dommages et intérêts.
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Vente par Michel Tardif, peintre, et Geneviève Butay, sa femme, demeurant rue Saint-Jacques, paroisse Saint-Séverin, à Jean Dutour, peintre ordinaire des ordres du roi, et à Anne-Madeleine Cabaret, sa femme, demeurant sur le pont Notre-Dame, de 'tout le fond des apprêts des armoiries pour les pompes funèbres des princes, seigneurs, et autres personnes de qualité, consistant en papier et cartes d'armoiries peintes, ajustées et disposées pour lesdites armoiries, de toutes sortes de grandeurs et attributs, avec tous les ustensiles servant audit fond, à la façon et préparation et tout ce qui en dépend, sans en rien excepter ni réserver', moyennant 1.600 livres. Les époux Tardif déclarent renoncer, ensemble et séparément, à travailler et à faire travailler, directement ou indirectement 'à aucun fond desdites armoiries, apprêt d'icelles, façon ni préparation, vente ni débit desdites armoiries en quelque manière que ce puisse être', et à acheter un nouveau fond, sous peine de dommages et intérêts.
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1709-07-05
5 juillet 1709
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.
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Informations complémentaires :
1709, 5 juillet. À la suite : Quittance par les époux Tardif aux époux Dutour des 1.600 livres.
Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 389 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Vente par Michel Tardif, peintre, et Geneviève Butay, sa femme, demeurant rue Saint-Jacques, paroisse Saint-Séverin, à Jean Dutour, peintre ordinaire des ordres du roi, et à Anne-Madeleine Cabaret, sa femme, demeurant sur le pont Notre-Dame, de 'tout le fond des apprêts des armoiries pour les pompes funèbres des princes, seigneurs, et autres personnes de qualité, consistant en papier et cartes d'armoiries peintes, ajustées et disposées pour lesdites armoiries, de toutes sortes de grandeurs et attributs, avec tous les ustensiles servant audit fond, à la façon et préparation et tout ce qui en dépend, sans en rien excepter ni réserver', moyennant 1.600 livres. Les époux Tardif déclarent renoncer, ensemble et séparément, à travailler et à faire travailler, directement ou indirectement 'à aucun fond desdites armoiries, apprêt d'icelles, façon ni préparation, vente ni débit desdites armoiries en quelque manière que ce puisse être', et à acheter un nouveau fond, sous peine de dommages et intérêts.