"Atermoiement conclu entre André Vanheck et ses créanciers : François de Latour, écuyer, seigneur du Chesnay, demeurant rue Saint-Dominique (pour 1.500 l.), François Furtre de L'Étang, maître peintre-doreur sur bois, demeurant quai de la Mégisserie (pour 600 l.), Pierre de Lallier, bourgeois de Paris, demeurant rue de l'Université (pour 2.700 l.), Patrice Mauconcif, l'un des deux cents barbiers-perruquiers-baigneurs-étuvistes de la ville de Paris, demeurant rue des Boucheries (pour 1.100 l.); ledit Vanheck ne pouvant payer ses dettes, qui s'élèvent au total à 15.770 livres, encore qu'il soit possesseur de près de 30.000 livres en tableaux et autres marchandises de sa profession, et qu'il lui soit dû plus de 9.000 livres par plusieurs personnes, à cause de l'absence de la plupart des personnes de qualité qui lui doivent, des remises et chicanes qui lui sont faites par les autres, de l'insolvabilité de certains, et enfin à cause de 'l'entière cessation du commerce des tableaux et d'autres choses dont le débit ne se fait que dans la paix, et dans l'abondance des deniers, ce qui n'est pas présentement', ses créanciers, pour lui éviter la ruine totale, lui font remise de tous les intérêts, frais et dépens, lui donnent mainlevée des saisies et exécutions d'arrêts, et lui accordent huit années pour le règlement de leurs créances, lesquelles seront payées par tranches égales d'année en année, par la première venant à échéance dans un an."@fr . "MC/ET/VII/173" . "1704-07-18"^^ . "15 juillet - 18 juillet 1704"@fr . "1704-07-15"^^ . . . "Atermoiement conclu entre André Vanheck et ses créanciers : François de Latour, écuyer, seigneur du Chesnay, demeurant rue Saint-Dominique (pour 1.500 l.), François Furtre de L'Étang, maître peintre-doreur sur bois, demeurant quai de la Mégisserie (pour 600 l.), Pierre de Lallier, bourgeois de Paris, demeurant rue de l'Université (pour 2.700 l.), Patrice Mauconcif, l'un des deux cents barbiers-perruquiers-baigneurs-étuvistes de la ville de Paris, demeurant rue des Boucheries (pour 1.100 l.); ledit Vanheck ne pouvant payer ses dettes, qui s'élèvent au total à 15.770 livres, encore qu'il soit possesseur de près de 30.000 livres en tableaux et autres marchandises de sa profession, et qu'il lui soit dû plus de 9.000 livres par plusieurs personnes, à cause de l'absence de la plupart des personnes de qualité qui lui doivent, des remises et chicanes qui lui sont faites par les autres, de l'insolvabilité de certains, et enfin à cause de 'l'entière cessation du commerce des tableaux et d'autres choses dont le débit ne se fait que dans la paix, et dans l'abondance des deniers, ce qui n'est pas présentement', ses créanciers, pour lui éviter la ruine totale, lui font remise de tous les intérêts, frais et dépens, lui donnent mainlevée des saisies et exécutions d'arrêts, et lui accordent huit années pour le règlement de leurs créances, lesquelles seront payées par tranches égales d'année en année, par la première venant à échéance dans un an."@fr . .